Artiste inscrit en DSRA à l’École supérieure d’art d’Annecy Alpes, Quentin Lazzareschi travaille sur les rapports à la visibilité ; à ce qui est montré en tant qu’art, à ses déplacements potentiels.
Détournant des objets, des situations ou des systèmes avec des actions minimales pour créer des perturbations au sein d’espaces réels précis – du terrain d’altitude au terrain d’exposition, il recherche une forme d’écologie du geste.
L’écritur [...]
Artiste inscrit en DSRA à l’École supérieure d’art d’Annecy Alpes, Quentin Lazzareschi travaille sur les rapports à la visibilité ; à ce qui est montré en tant qu’art, à ses déplacements potentiels.
Détournant des objets, des situations ou des systèmes avec des actions minimales pour créer des perturbations au sein d’espaces réels précis – du terrain d’altitude au terrain d’exposition, il recherche une forme d’écologie du geste.
L’écriture occupe une place importante dans ses travaux actuels. Il coopère régulièrement avec Victor De Seauve (SACRe) à approcher de nouveaux paysages.
Au sein du projet EdA, son travail traite des questions iconographiques liées aux effondrements, à des systèmes d’expression et d’expérience possibles en réponse au système de représentations.
Les changements formels du relief supposant d’inventer d’autres manières d’habiter le paysage et de le concevoir, il s’attache à rechercher des montagnes dans des espaces qui n’y sont pas associées ; un alpinisme qui s’émancipe des sommets ; les relations esthétiques, écologiques et politiques induites par les transformations contemporaines ; les liens sensibles entre pratiques artistiques et pratiques alpines.