Catherine Radosa travaille au croisement des images et des situations, qu’elle les rencontre ou les produise. Par la lecture des lieux, en observant, en écoutant, en documentant, elle interroge le présent de la mémoire, les représentations personnelles et collectives : le rapport individu- société, les frontières géographiques et sociales, l’Histoire, l’identité. Catherine Radosa a contribué à des programmations événementielles collectives (comme la Nuit Blanche Paris en [...]
Catherine Radosa travaille au croisement des images et des situations, qu’elle les rencontre ou les produise. Par la lecture des lieux, en observant, en écoutant, en documentant, elle interroge le présent de la mémoire, les représentations personnelles et collectives : le rapport individu- société, les frontières géographiques et sociales, l’Histoire, l’identité. Catherine Radosa a contribué à des programmations événementielles collectives (comme la Nuit Blanche Paris en 2011, 2012 et 2013) et à des festivals (Rencontres Internationales Paris/Berlin/Madrid au Palais de Tokyo et à la Haus der Kulturen der Welt (2012, 2013)).
Catherine Radosa travaille au croisement des images et des situations qu’elle rencontre ou qu’elle produit. Par la lecture des lieux et l’observation, elle interroge le rapport individu-société, les frontières géographiques et sociales, l’Histoire, la mémoire et l’identité. Entre enquête et rêverie, par le montage de voix, d’images, de contextes et de moments, elle construit des figures de témoins collectifs qui touchent à l’esprit des lieux et du moment avec une distance qui lui est propre, sensible, sans effusion, directe, délicate, grinçante parfois. Elle présente pour OSMOSCOSMOSla vidéo d’une image fixe. Grâce à une lumière en contre-jour et une topographie arrondie, l’artiste nous fait croire que nous sommes sur une planète inhabitée jusqu’à ce que nous nous rendions compte que le monticule bouge légèrement sous les secousses d’un embryon dans le ventre maternel.