Dans la tradition du documentaire social, Miguel Leache a produit toute une série de photographies, POR LOS DIAS FELICES, qui sont imprégnées de mélancolie et de blues, malgré leur titre évoquant « les jours heureux ». Ces intérieurs dépeuplés, aux aspects souvent fantomatiques, renvoyant parfois même au « Distroyed Room » de Jeff Wall, sont en fait des traces d’une réalité brutale de notre temps : des appartements dans la région de Pampluna, dont les loca [...]
Dans la tradition du documentaire social, Miguel Leache a produit toute une série de photographies, POR LOS DIAS FELICES, qui sont imprégnées de mélancolie et de blues, malgré leur titre évoquant « les jours heureux ». Ces intérieurs dépeuplés, aux aspects souvent fantomatiques, renvoyant parfois même au « Distroyed Room » de Jeff Wall, sont en fait des traces d’une réalité brutale de notre temps : des appartements dans la région de Pampluna, dont les locataires sont expulsés, car ils ne sont plus en mesure de payer le loyer ou les hypothèques.